Dans sa tribune sortie ce mardi 11 mars dans le journal Libération, Boris Vallaud souligne très justement que dans un contexte mondial marqué par l'égoïsme des nations, une Europe secouée par la guerre, un climat déréglé, et une démocratie menacée, le prochain Congrès du Parti Socialiste ne peut se permettre d'être similaire au dernier.